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Selon Reuters, TLG, qui se concentre sur les petites capitalisations, mène actuellement une due diligence en vue de lancer des croisières sur le haut fleuve Irrawaddy en 2013. Il devrait investir plusieurs millions de dollars.
Naidah Yazdani, directeur général de Fluviale du Mékong, a cependant déclaré que le Myanmar devait encore prouver qu’il est ouvert aux capitaux étrangers.
“Ils doivent montrer un engagement à attirer davantage d’investissements directs étrangers”, a-t-il affirmé.
“Dès que cela se produira, il y aura des investissements du monde entier.”
L’intérêt de TLG fait suite à l’assouplissement des sanctions contre le Myanmar par les États-Unis plus tôt ce mois-ci et par l’Union européenne au cours des derniers mois, à la suite des premières élections partielles démocratiques du pays depuis qu’Aung San Suu Kyi s’est vu refuser le droit de gouverner le Myanmar (alors la Birmanie) en 1990.